Chapu

Collectioneuse d'instants parfaits (encore!)

Dimanche 15 février 2009 à 17:46

"après tu chables mais bon si tu t'crounch c'est la latche."


Un nouveau sol pour petit petons.

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Comment ça je fais que des zarticles inutiles? Voui j'vous fais du vaporeux, d'l'incongru, du gracile, du fluet, du mélo, du chouchoqué, du sybillin, de l'abstris, du loqueteux, j'écrirais en volapuk les volutes de froid qui grimpent et s'évanouissent dans le froid, le bruit d'un doigt contre le bois la buée sur la fenetre les graines qui germent dans ma cuisine et les envies qui poussent sur chaque plis de mon papier peint qui se decolle decolle lentement et les ennuis qu'on decollent a rire plus fort plus haut plus loin et les heures que je hais et celle qu'on ne voient jamais et les fils pour coudre les cahiers et les crayons a decoudre les idées les images que je garde comme un morceau de moi meme, et les emulsions de phrases et les sons qui vibres et qu'on nasalise, j'vous raconterai la fac qui glisse la fac qui trempe, la fac qui trouille, les mardis trop long les maths de nazbrock, la morphologie des schtroumpf, la lexico des queue leu leu, les paul qui n'ont pas l'meme ISO, et Flo-flo, mon flaubert , les chaussettes de ski dans les compensés, le livre de musique en papier jaunis et ses soupirs, demi soupirs, ma pensée qui grandit sur ma table, les pensées qui tourbillonent a l'heure de s'endormir , et les photos de clignotants, les legumes oubliés pour une cuisine a saveur et l'envie d'occuper tout les sens, de trouver parfois le temps de dire des mots doux en contournant les habituels les sirupeux les niaiseux les tout creux qui ne resonnent meme pas les amis de ta femme et puis toutes les chansons nulle que je retrouve j'aurais les compil avant la voiture, se dire que cette année ya pas d'autriche, tricher avec mes boucles, ne plus vous montrer mes mots, ne plus écrire parfois mes theories fallacieuses, from paris to berlin , apprendre l'allemand retrouver l'espagnol et inventer le français,se faire une soirée fc devant un film de fille et parler des hommes du soleil de l'été des choses qui n'ont de sens qu epour nous, et puis imprimer des instants de vies pour remplir des feuilles de couleur, et puis vivre un peu plus fort, la nostalgie et toujours et toujours...

Dimanche 1er février 2009 à 18:39


 

J’ai les mots qui rouillent, rouillent, roulent. Et j’viens pas les décoller, m’extraire toutes ces pensées, les degobiller au fond d’une feuille. D’une écriture malhabile, ressurgir les instants, les sentiments. Poser les questions folles, les envies trop faciles. Les paradoxes du quotidiens, les fioritures qu’on s’croit personnelles. Des ordres pour soi, pour s’forcer a exister. Les lignes à conduire, les lignes de conduite, les lignes de fuites. L’avenir taciturne, le passé volubile. Le temps qu’on perd à s’bloquer la devant, les heures qu’on regrettent et qu’on éparpillent. Definir par les mots, avec tout ce que cela comporte de déterminisme.

 

Repenser l’indolence, l’innocence, les réminiscence.

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