Chapu
Collectioneuse d'instants parfaits (encore!)
Jeudi 5 mars 2009 à 15:48
"Qu'est ce qu'on s'aime , quand meme..."
"Et toute ces belles choses qu'on se dit, agrémentées de beaux syntagme nominaux (car , OUI, je révise ma grammaire, désillusionée sur l'interet de ma licence), de beaux syntagmes nominaux, donc, refletant sous des mots tout ses beaux sentiments qu'on cache sous l'quotidien, ces temps ci , mais qui sont bien la, terrés dans un coin d'ventre , dans un coin d'coeur, un coin d'corps, prêt a vibrer au moindre séisme emotionnel, au moindre mot un peu hors de l'ordinaire, hors du reste, en plein dans l'nous.
(Courage, je sais, tu atteinds peniblement la troisieme ligne que je t'en remet quatre, et vazy que pour la dizaine de mot t'as un bonus de 5 gratuits, tu croules sous les subordonnées, tu te noies dans les parenthese, tu suffoques sous les sens a rallonge, alors que ton cerveau engourdi attend sa piqure quotidienne de thermodynamique et autre electromagnetisme bien moins lettreux)"
Dimanche 15 février 2009 à 17:46
Un nouveau sol pour petit petons.
Dimanche 1er février 2009 à 18:39
J’ai les mots qui rouillent, rouillent, roulent. Et j’viens pas les décoller, m’extraire toutes ces pensées, les degobiller au fond d’une feuille. D’une écriture malhabile, ressurgir les instants, les sentiments. Poser les questions folles, les envies trop faciles. Les paradoxes du quotidiens, les fioritures qu’on s’croit personnelles. Des ordres pour soi, pour s’forcer a exister. Les lignes à conduire, les lignes de conduite, les lignes de fuites. L’avenir taciturne, le passé volubile. Le temps qu’on perd à s’bloquer la devant, les heures qu’on regrettent et qu’on éparpillent. Definir par les mots, avec tout ce que cela comporte de déterminisme.
Repenser l’indolence, l’innocence, les réminiscence.
Vendredi 16 janvier 2009 à 13:07
(non mais en fait, on donne a boire aux oiseaux, et par ses temperature ça reste pas bien longtemps liquide )